
Etre en mesure de répondre à toute éventualité est une exigence permanente des organisateurs du Grand Prix de Pau.
Cette exigence est double, il faut à la fois pouvoir répondre à tout accident sur la piste ou de spectateurs mais aussi pouvoir assurer les secours dans le carré d’or de la ville bloqué d’accès extérieur par le circuit, même si l’existe naturellement des portails destinés aux secours.
Ainsi Sapeurs Pompiers, équipiers de la Protection Civile et équipages du SAMU sont présents sur le circuit, au Paddock Tissé ou se trouve le Poste Médical Avancé qui fait office de salle de déchocage mais aussi au virage Foch afin d’avoir la meilleure couverture possible du circuit et de pouvoir diminuer les temps d’intervention.
Un médecin de SAMU est de permanence au Poste Médical, avec une infirmière plus un infirmier supplémentaire au virage Foch. Le véhicule médical d’intervention rapide, VRM est assuré pour l’occasion par un break BMW survitaminé.
Diverses ambulances et leurs équipages sont aussi positionnées à Tissié et sur le circuit.
Sans parler naturellement des dépanneurs nombreux et des commissaires de pistes, indispensables avec leurs drapeaux, extincteurs mais aussi muscles pour évacuer au plus vite pilotes et carcasses.
Sans ces femmes et ces hommes de l’urgence la course n’existerait pas.
Sans oublier médecins, infirmiers et secouristes de la Fédération Française de Sport Automobile qui sont aussi présents sur la course.
Depuis la catastrophe de Furiani, le 5 mai 1992, où une tribune de spectateur de foot s’est effondrée, les contrôles de sécurité en amont de l’ouverture de la course sont redondants et les services de secours sont presque surdimensionnés.
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