Petit rappel probablement pas inutile du tout :
Il est interdit brûler des déchets verts (végétaux secs ou humides) chez soi, que ce soit avec un incinérateur de jardin ou à l’air libre.
Le brûlage de déchets verts (tonte, feuilles mortes, résidus de taille des haies… ) à l’air libre est interdit par la loi (art. L 541-1 et L 541-21-1 du Code de l ‘environnement).
Depuis 2020, par la Loi N° 2020-105 du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire a modifié le code de l’environnement et il est désormais interdit de brûler des biodéchets (dont font partie les déchets de jardin) à l’air libre et dans les incinérateurs.
Il faut agir pour la transition écologique et chacun à un rôle à jouer en responsabilité.
Cette pratique est gênante pour le voisinage et pollue l’air, à cause des gaz et particules émis. Elle représente aussi un risque de propagation d’incendie.
Et donc il est interdit de surcroît de brûler tout autres déchets tels que les plastiques, polyanes divers, polystyrènes et ainsi de suite.
Et pourtant, dans nos villages, ici un artisan charpentier qui brûle ses résidus chaque semaine, là un grossiste de pétrole et de bois de chauffage qui brûle les branchages de ses coupes, plus loin un habitant avec ses feuilles automnales.
Ici et là, nombreux encore brûlent, brûlent et brûlent.
De l’autre côté de la planète aussi, en Inde Inde le brûlage de chaume aggrave la pollution de l’air et l’état d’urgence a été déclaré à New Delhi.
Pourtant, pour ne parler que de notre pays, selon Santé Publique France un étude révèle que la mortalité liée à la pollution de l’air ambiant reste un risque conséquent en France avec 40 000 décès attribuables chaque année aux particules fines (PM2,5).
Ces travaux soulignent une nouvelle fois l’importance de poursuivre les efforts de réduction de la pollution atmosphérique, en agissant sur l’ensemble des sources de pollution.
Alors après la parole, passons aux actes.
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