A Bagnères de Bigorre, les communistes haut les cœurs !

Et si Bagnères-de-Bigorre cette petite ville de 8000 habitants dans département des Hautes-Pyrénées, sur la rive gauche de l’Adour, renommée par ses eaux thermales depuis l’époque romaine, devenait l’une des prochaines ville de la gauche unie aux futures municipales de 2026 autour des communistes qui montrent un dynamisme et une présence que l’on croyait presque effacé de la mémoire locale ?

Cette terre dont certains disent qu’elle fut détruite par les Vikings et qui a souffert de l’intrusion des Navarrais et autres brigands aragonais, est une terre de lutte et de progrès au fil de sa longue histoire. Frappée par la peste en 1349, devenue anglaise en 1360 au cours de la guerre de cent ans, meurtrie par un incendie majeur en 1427, cette terre de Bigorre a toujours su aller dans le sens de l’humanité et du progrès.

C’est avec un jeune et actif nouveau secrétaire de section, Julien Cantegreil, technicien agricole installé depuis longue date à Bagnères en binôme avec Alain Amaré, figure emblématique du paysage militant bagnérais, que les communistes comptent bien relever la tête et faire vivre la gauche locale, en étant déjà – qu’on se le dise – la première force politique organisée et active de la place.

Mais au fait le parti communiste en 2023, existe t’il encore ? et qu’est ce donc ?

Probablement une maison ouverte à tou.te.s intellectuels, créateurs, ouvriers, citoyens qui veulent s’unir et mettre en œuvre, ce travail sur tous les grands enjeux de société, pour défendre et construire un avenir commun heureux et pacifiste autour notamment localement de la lutte contre la disparition des services publics, dont son hôpital local menacé, la réhabilitation de la ligne ferroviaire, la défense de la ruralité, le soutien à l’abattoir communautaire, à l’activité industrielle, artisanale et paysanne ainsi qu’aux commerces de proximité. Mais aussi une gestion concertée de la ressource en eau, une mobilisation de tous les instants pour l’emploi, les salaires, contre la réforme des retraites, etc…

A suivre donc, car sans nul doute l’enthousiasme de Julien va faire des émules dans le département et autour. Et n’est-ce pas l’incontournable Georges Marchais dans l’histoire du parti communiste français qui se plaisait à dire « que prendre le temps de vivre c’est aussi prendre le temps d’aimer ».

Alors à suivre !

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